Le Jour Où J’Ai Vendu Mon Corps Aux Enchères - 3

Aussitôt dans la pièce, Allou se dessape. Le voilà nu devant moi et là j’ai un choc ! Allou a une bite comme je n’en ai jamais vu. Au moins 25 cm sur 7 de diamètre, elle est énorme et déjà bien raide !
- Allez, je suis supporter de l’OM, alors droit au but ! Mets –toi à 4 pattes que je te prenne en levrette !
Je ne suis pas rassurée : il va me déchirer la chatte avec un gourdin de cette taille ! Mais bon, je lui appartiens, je dois obéir… je m’installe donc sur les tatamis, cul en l’air cuisses largement écartée et j’attends que Allou me baise.
Je sens son gland qui frotte contre ma petite fente. Il m’astique la moule sans me pénétrer. J’ai envie de m’empalée moi-même sur son pieu, mais je n’ose pas.
Voilà, il commence à enfiler son gland violacé entre mes lèvres gonflées de désir. Je les sens s’écarter au fur et à mesure qu’il s’enfonce dans mon con. J’avais peur d’avoir mal, mais au contraire, putain que c’est bon une telle matraque qui envahit mon abricot !
Allou m’agrippe par les hanches et d’un coup sec il rentre maintenant à fond dans ma chatte béante et commence à me limer. Lentement au début, puis de plus en plus vite. Il me fout à présent de sauvages coups de bite dans la chatte. Je me prends à hurler, à moitié de douleur, à moitié de plaisir. Non, je mens c’est uniquement de plaisir. Je suis une vraie salope qui jouit de se faire tringler par un black super bien monté et qui me défonce le vagin. Ma cyprine s’écoule lentement de ma fente quand je sens une violente décharge dans mon bas ventre. Allou est entrain de lâcher sa purée au fond de ma chatte. Des jets puissants, nombreux. Son jus m’inonde la chatte. Il se retire en poussant un gros cri de satisfaction.
- Ahhhh, ma salope, j’en ai pour mon argent avec toi ! Y a longtemps qu’une gonzesse ne m’a pas accueilli comme toi, bien au fond. Tu aimes ça hein la baise ?
Je n’ai pas besoin de répondre à sa question. Il connait la réponse ! Il n’a pratiquement pas débandé.

Il me demande de l’astiquer un peu pour reprendre de la vigueur, car dit-il, il n’a pas fini avec moi.
J’ai un peu peur de la suite, mais en même temps j’ai envie qu’il me plante à nouveau sa bite dans mon con.
- Allez, ça suffit, remets-toi en position !
Sans me faire prier je me remets à genoux sur les tapis de judo, cul bien en l’air, cuisses bien ouvertes pour qu’il accède aisément à mon abricot.
Mais là, je me fige d’inquiétude car ce n’est pas sur ma fente qu’il appui son gland, mais sur mon anus. Ma parole, il va m’enculer ! je ne l’ai été qu’une seule fois dans ma vie, par un mec bien moins pourvu qu’Allou et j’avais eu très mal. C’est pour çà que je n’ai plus jamais voulu me faire défoncer mon petit trou. Mais là, je suis obligée de le laisser faire et pour tout dire, je suis tellement dans un état second que je suis prête à subir tout ce qu’il veut.
Il a reculé un peu sa bite et il me masse le trou du cul délicatement, en insistant de plus en plus. Il vient chercher de la mouille dans ma chatte et il lubrifie ma rosette avec. Je sens que mon sphincter se détend. Je suis prête à accueillir son braquemard dans mon fion.
- Je vais t’enculer comme une reine ! tu vas gueuler de bonheur ma salope !
Sans prévenir, il plaque sa tige contre mon anneau, il me tient fermement par les hanches et il me tire le cul vers lui. Je sens son gourdin envahir peu à peu mon étroit fourreau. J’ai mal, mais c’est supportable. Une nouvelle poussée et sa bite est à moitié rentrée dans mon cul. Bon dieu que c’est bon. J’ai une sensation de bien-être terrible. Et encore, il n’est pas à fond !
Nouvelle poussé, accompagné d’un grand râle et le voilà empalé à fond dans mon cul. Je joui immédiatement. Un orgasme comme je n’en ai jamais connu. Il me ramone comme un sauvage. Ses coups de boutoirs sont violent, rapides. Il glisse dans mon cul sans aucune difficulté. Je me branle le clito en même temps qu’il me sodomise. Je ne suis plus moi-même.
J’ai très vite un second orgasme, encore plus fort que le premier. Je voudrais que ça ne cesse jamais. Je voudrais qu’il reste planté là dans mon cul indéfiniment. Je dois l’avouer : j’aime être enculé par Allou.
Encore 3 ou 4 coups de reins et Allou décharge dans mon cul. Je suis comblée.
Il se retire et d’un coup je me sens vide. Sa bite me manque déjà !
Son sperme s’écoule lentement de mon cul. Il l’étale sur mes fesses, sur mon périnée et sur ma chatte. Je suis aux anges….
- Ben toi ma salope, t’es le meilleur coup que j’ai jamais eu. Tu es faite pour la bite !
- Je prends ça pour un compliment…
- Bien, c’est pas tout, il faut que j’essaie de te refourguer à quelqu’un d’autre, histoire de récupérer mon fric !
Bon, si j’ai bien compris, j’ai pas fini de passer à la casserole !
Allou se rhabille, il me roule une pelle d’enfer et on retourne dans la salle de dance. Ma chatte, mon cul, mes poils pubiens sont couverts de sperme et de cyprine séchés. Je n’ai même plus honte. Je m’en fous, pourvu qu’on me baise encore et encore !
Allou contacte quelques copains à lui et plusieurs mecs viennent à sa table pour « évaluer la marchandise ». Je me fais palper les nibards, caresser la chatte, peloter le cul… Aucun ne veut de moi. J’ai soit trop servi ce soir et je ne vais plus assurer, soit ma chatte est toute collante et c’est dégueulasse, soit j’ai de seins trop petits… ; Je suis plutôt vexée et surtout j’ai envie d’être encore baisée !
Voilà Patricia qui vient nous rejoindre. Je suis carrément jalouse, Allou va niquer Pat alors que je suis encore à lui !
- Tu en veux combien ?
- Pour toi, 40 euros !
Non mais je rêve, il va me vendre à une gonzesse et en plus il me brade. De toute façon, je suis hétéro, je n’ai jamais touché une fille et çà me répugne. Moi j’aime les mecs, rien que les mecs.
_ D’accord, j’achète. Ma petite pute t’es à moi maintenant. Je vais te baiser comme aucun mec ne l’a fait !
- Non, désolée, j’aime pas les filles.
J’ai jamais fait…
- Ta gueule, tu es à moi, tu dois m’obéir : Viens on va faire un tour sur les tatamis. Parait que y a encore l’odeur de ta mouille mélangée au foutre d’Allou et d’Eddy dessus !
Je suis bien obligée de suivre Pat. Une fois arrivée dans la petite salle, Pat vient se coller contre moi et m’embrasse sur les lèvres. J’aime pas çà. Elle me force à ouvrir la bouche et introduit sa langue dedans. J’avoue que c’est pas si désagréable, c’est même plutôt bon. Nos langues s’enroulent, nos salives se mélangent. Pat me caresse doucement les fesses. Ses mains sont douces. Ses lèvres ont bon goût. Je me décrispe peu à peu. Je réponds maintenant à ses avances.
- Déshabilles-moi ! Lèches-moi.
Je ne sais pas ce qui m’arrive. Moi qui critiquais violemment les lesbiennes, voilà que je m’apprête à gouiner avec Pat…

La suite et fin dans la 4ème partie de mon récit…

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